5 étapes pour inclure la Fondation CARF dans votre testament de solidarité

Le testament conjonctif est un type d'acte juridique dans lequel une personne physique ou morale rédige un testament conjonctif. une partie ou la totalité de leur héritage à une institution de l'Église, une œuvre de bienfaisance, une organisation à but non lucratif (telle que la Fondation CARF), une ONG ou une institution d'aide sociale.

Son objectif est de contribuer à une cause altruiste après le décès. Ce type de testament de solidarité permet au testateur de laisser un héritage à impact social, en s'assurant que ses biens sont utilisés pour soutenir des initiatives qui reflètent ses valeurs et ses engagements religieux ou éthiques.

Inclure la Fondation CARF dans votre testament est une façon particulière de soutenir la formation des prêtres diocésains et des séminaristes dans le monde entier, en veillant à ce qu'ils puissent poursuivre leur préparation pour apporter l'Évangile dans tous les coins de la planète, en contribuant à maintenir la Université pontificale de la Sainte-Croix et les facultés ecclésiastiques de l'université de Navarre, ainsi que les séminaires et les collèges où vivent les séminaristes et les prêtres qui bénéficient de votre générosité. Si vous envisagez cette possibilité, nous vous expliquons ici comment procéder en cinq étapes simples.

1) Réfléchir et s'informer sur les institutions qui font votre testament de solidarité de façon responsable

C'est un acte de responsabilité et de générosité que de prendre le temps de décider du sort des biens accumulés au cours d'une vie.

Partager cette réflexion avec des membres de votre famille ou des personnes de confiance vous aidera à prendre la meilleure décision. La Fondation CARF vous conseille pour que votre testament reflète fidèlement vos souhaits et contribue à la mission universelle de l'Eglise.

N'oubliez pas qu'un testament conjonctif n'affecte pas les droits de vos héritiers légitimes, mais qu'il permet d'affecter une partie de votre patrimoine à une cause à laquelle vous croyez.

2) Passer chez le notaire : quelles sont les informations que je dois apporter pour rédiger mon testament conjonctif ?

Le notaire s'assurera que votre sera élaborée conformément à la loi et reflètent fidèlement vos souhaits. Pour que l'ensemble du processus reste simple, qu'il est conseillé d'emporter :

Si vous décidez d'inclure la Fondation CARF, le notaire veillera à ce que tout soit bien formalisé et que votre générosité se traduise par un impact réel et durable sur le long terme. temps.

3) Conservez une copie : comment puis-je m'assurer que mon testament est accessible en cas de besoin ?

Une fois le testament conjonctif signé, il est important que vous en conserviez une copie en lieu sûr et que vous rend compte à quelqu'un de confiance quant à son existence et à sa localisation.

Vous pouvez également choisir de numériser le document, tout en gardant à l'esprit que le document juridiquement valable sera l'original signé devant un notaire.

4) Dites à la Fondation CARF : pourquoi est-il important de nous informer ?

Impliquer la Fondation CARF de votre décision vous permet de nous pouvons garantir l'exécution de votre testament à l'avenir. Nous pouvons également vous conseiller sur la meilleure façon de canaliser votre legs caritatif et d'en maximiser l'impact.

Cette communication nous aide à mieux planifier l'utilisation des ressources, en veillant à ce que votre legs ou votre testament de solidarité soit utilisé efficacement pour la formation des prêtres diocésains et des séminaristes dans le monde entier.

5) Faites part de votre décision : qui doit être informé et pourquoi ?

Il est essentiel de faire part de votre décision à une personne de confiance afin que, le moment venu, elle puisse être mise en œuvre sans heurts. Il est ainsi plus facile pour votre testament caritatif d'être exécuté conformément à vos souhaits et pour votre générosité de se traduire par des opportunités réelles pour ceux qui en ont le plus besoin. Parler de votre décision à un exécuteur testamentaire ou à votre famille permet d'éviter toute confusion et de s'assurer que votre volonté est respectée.

Grâce à votre volonté de solidarité, votre engagement en faveur de la formation des séminaristes y Les prêtres diocésains continueront à vivre, et votre générosité deviendra un héritage permanent qui transcendera le temps.

Si vous avez besoin de plus d'informations ou de conseils, nous sommes à votre disposition.

25 mars, fête de l'Annonciation du Seigneur

Le 25 mars, l'Église célèbre la solennité de l'Annonciation du Seigneur, un moment crucial dans l'histoire du salut. Cette fête rappelle le moment où l'archange Gabriel a annoncé à la Vierge Marie qu'elle serait la mère du Fils de Dieu. Son "qu'il me soit fait selon ta parole" (Lc 1, 38) représente un modèle de foi et d'abandon total à la volonté divine.

Le sens de l'Annonciation et de l'Incarnation du Verbe

Le mystère de l'Annonciation est inséparable de l'Incarnation, puisque c'est le moment où Dieu prend la nature humaine. Saint Josémaria Escriva de Balaguer, fondateur de l'Opus Dei. Opus DeiIl a souligné la grandeur de cet événement en affirmant que "Dieu nous appelle à nous sanctifier dans la vie ordinaire, comme Marie a accepté sa mission avec humilité".

Marie, modèle de vocation et de dévouement

Notre mère, la Vierge Marie, est un exemple pour tous les chrétiens, en particulier pour ceux qui ont été appelés au sacerdoce. Sa réponse confiante et sans réserve reflète la volonté de tous les chrétiens d'être appelés au sacerdoce. séminariste et prêtre face à l'appel de Dieu.

L'Annonciation et la défense de la vie

En Espagne, la Conférence épiscopale célèbre le 25 mars la "Journée des évêques".Journée pour la vieEn 2025, la devise est "Embrasser la vie, construire l'espoir", un appel à la protection de la vie à tous les stades. En 2025, la devise est "Embrasser la vie, construire l'espoir", un appel à la protection de la vie à tous les stades.

L'engagement des prêtres et des séminaristes

Pour les prêtres diocésains et les futurs pasteurs soutenus par la Fondation CARF, cette fête revêt une signification particulière. Défendre la vie fait partie de leur mission, en tant que témoins de l'Evangile dans une société qui relativise souvent la valeur de l'existence humaine.

L'engagement des prêtres et des séminaristes ne se fonde pas seulement sur la défense de la vie dès sa conception, mais aussi sur leur travail pastoral d'accompagnement des personnes à chaque étape de leur vie. Leur formation théologique et spirituelle les prépare à être des guides dans la foi et des conseillers dans les moments difficiles. Inspirés par le oui de Marie, ils sont appelés à être des hérauts de l'espérance, en promouvant une culture de la vie et de l'amour chrétien.

25 de marzo, jornada por la vida

En outre, cette fête les invite à approfondir leur vocation, en réaffirmant leur engagement dans l'évangélisation et l'enseignement de la doctrine chrétienne.

À une époque où la dignité humaine est confrontée à de multiples défis, leur témoignage est particulièrement pertinent. L'Annonciation leur rappelle leur mission : être la présence vivante du Christ dans le monde, en transmettant le message du salut en paroles et en actes.

Vivre le oui de Marie : un engagement pour tous les chrétiens

La fête de l'Annonciation nous invite non seulement à méditer sur le oui de Marie, mais aussi à renouveler notre abandon à Dieu dans la confiance et la joie.

Marie, par son acceptation humble et courageuse, nous enseigne que chaque chrétien, quel que soit son état de vie, est appelé à donner son propre oui à Dieu dans la quotidienneté de la vie de tous les jours.

Pour les séminaristes et les prêtres diocésains, il s'agit d'une journée de réflexion spéciale sur leur vocation et leur engagement à défendre la vie et la foi.

Cependant, cet appel ne leur est pas exclusif. Chaque fidèle, à partir de sa propre réalité, peut rendre le Christ présent dans le monde par ses actes de charité, son témoignage chrétien et sa confiance en la providence de Dieu.

L'Annonciation nous rappelle que chacun d'entre nous, en tant que membre du peuple de Dieu, peut être un instrument entre ses mains, apportant l'espoir, l'amour et la foi à ceux qui nous entourent.

L'impact d'un testament de solidarité sur l'avenir de l'Eglise

Dans la vie, nous cherchons tous à laisser une trace profonde et permanente. Au-delà de ce que nous accumulons au fil des ans, ce qui nous définit vraiment en tant que personne, c'est le bien que nous faisons aux autres. Un legs ou un testament de solidarité deviendra une manière significative de prolonger votre générosité perpétuelle au-delà de l'éphémère de l'existence..

Grâce au testament de solidarité, nous pourrons soutenir des causes qui reflètent notre foi et nos convictions, en veillant à ce que notre héritage ait un impact durable sur l'Église catholique : la formation intégrale des prêtres.

En outre, il est important de comprendre qu'un héritage ou un testament de solidarité ne consiste pas seulement à laisser un actif financier, mais aussi à transmettre des valeurs et des enseignements aux générations futures. Par exemple, lorsqu'une personne décide d'allouer une partie de son héritage à la formation de séminaristes et de prêtres diocésains, elle investit dans l'avenir et la sainteté de l'Église en s'adressant à des personnes du monde entier qui, à leur tour, formeront d'autres personnes et dirigeront leurs communautés locales. De telles décisions peuvent en inspirer d'autres, créant ainsi un effet multiplicateur de générosité et d'engagement.

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La formation intégrale des séminaristes et des prêtres diocésains, ainsi que des religieux, devient essentielle, car elle ne se limite pas à l'enseignement de la philosophie, du droit canonique, de la théologie ou de la communication institutionnelle de l'Église, mais va bien au-delà des compétences pratiques nécessaires à leur ministère. Elle a un impact sur leur sphère humaine et spirituelle, ainsi que sur leur sphère académique et intellectuelle.

Grâce à une formation adéquate et complète, les prêtres diocésains et religieux seront mieux équipés pour relever les défis d'une société assoiffée de lumière, en apportant soutien et espoir à ceux qui sont dans le besoin, quelles que soient leurs croyances religieuses.

Pour ceux qui partagent une foi profonde et souhaitent renforcer la mission de l'Église, y compris ceux qui voient le grand travail social que les prêtres accomplissent dans le monde entier, inclure dans le testament de solidarité un legs ou une donation pour la formation intégrale des séminaristes et des prêtres diocésains devient une manière de contribuer à la consolidation de la foi et à l'évangélisation de tous ceux qui ont moins d'options.

La volonté de solidarité devient un outil puissant pour ceux qui veulent laisser une marque perpétuelle et significative ; Vous laissez un patrimoine qui servira à financer des programmes de formation pour les séminaristes et les prêtres diocésains.

L'héritage doit être considéré comme un acte de justice sociale. En allouant des ressources à la formation intégrale des prêtres, il permet à un plus grand nombre de personnes d'avoir accès à une éducation de qualité dans la sphère religieuse, augmentant ainsi les chances de ceux qui, autrement, ne pourraient pas y accéder.

Enfin, il est essentiel de rappeler qu'un testament de solidarité ne se limite pas à la vie d'une seule personne, mais reflète un engagement intergénérationnel. Par notre testament, nous pouvons inspirer d'autres personnes à suivre notre exemple et favoriser une culture de générosité et d'engagement envers l'Église qui perdurera dans le temps. Cet héritage, qu'il s'agisse de ressources matérielles ou spirituelles, peut être un foyer d'espoir et de foi pour les générations à venir, et un rappel constant de ce que signifie vivre dans un but précis.

Un testamento solidario permite extender la generosidad más allá de la vida, destinando parte de la herencia a la formación de seminaristas y el sostenimiento de sacerdotes, sin perjudicar a los herederos legítimos. Es un acto de fe y amor que fortalece la misión de la Iglesia y deja un legado duradero en la evangelización y el servicio sacerdotal.

Comment fonctionne un testament solidaire ?

A legs (partiel) ou testament solidaire (document complet) est un un document juridique stipulant qu'au décès, une partie ou la totalité des biens sera versée à une fondation ou à une organisation à but non lucratif, en l'occurrence pour la formation des séminaristes et des prêtres diocésains et religieux. Cette décision n'implique pas de déprotéger la famille ou de léser les héritiers légitimes, mais de partager un pourcentage de l'héritage avec une cause qui perdurera.

Il s'agit d'une procédure simple et souple, qui permet d'adapter les modalités en fonction de la situation et des souhaits de la personne. Il peut s'agir de biens financiers, mobiliers et immobiliers, d'une somme d'argent ou d'un pourcentage de l'héritage total.

Les raisons d'une volonté de solidarité en faveur de la formation des prêtres

1. Promotion des valeurs chrétiennes : en soutenant la formation de nouveaux prêtres, elle contribue à la diffusion de valeurs fondamentales telles que la solidarité, la compassion et le service aux autres. Ces principes sont essentiels pour construire des communautés plus justes et plus humaines.

2. Renforcement des églises locales : la présence de prêtres bien formés dans une communauté contribue à améliorer sensiblement la vie spirituelle et sociale des paroissiens. Outre la prédication de l'Évangile et l'administration des sacrements, ils organisent des activités, fournissent des conseils et un soutien, et contribuent à rassembler les gens autour de causes communes.

3. Encourager les vocations : en contribuant à la formation des prêtres diocésains et religieux, on peut créer un environnement qui encourage d'autres personnes à envisager une vie de dévouement total à Dieu pour les autres. La visibilité de prêtres engagés et bien préparés peut inciter de jeunes hommes à suivre leurs traces et à consacrer leur vie au service des autres.

4. Continuité dans l'évangélisation : Les séminaristes sont l'avenir de l'Église. Leur formation nécessite un soutien financier afin de s'assurer qu'ils sont bien préparés à leur mission de diriger et de servir la communauté.

5. Soutien aux prêtres : De nombreuses communautés dépendent de la générosité des fidèles pour soutenir leurs prêtres, qui consacrent leur vie à la prière, au service et à l'enseignement. Mais quel meilleur soutien que celui d'une formation solide qui a un impact direct sur leurs églises locales ?

6. Un acte de foi et d'amour : Un legs ou un testament de solidarité est une manifestation tangible de votre engagement envers l'Église universelle et l'ensemble de ses œuvres spirituelles et sociales.

7. Un impact permanent et durable : Bien que la vie soit éphémère, les fruits d'un don bien ciblé peuvent se perpétuer et s'étendre sur plusieurs générations, renforçant ainsi l'œuvre de Dieu sur terre.

Comment rédiger un testament conjoint et solidaire ?

Informez-vous et réfléchissez : réfléchissez à ce que vous aimeriez abandonner. Toute contribution aura un impact dans la vie des personnes que nous aidons et qui, à leur tour, aident des centaines de milliers de personnes dans leur pays d'origine. Si vous avez besoin de plus d'informations ou si vous avez des questions, nous vous proposons conseils juridiques gratuits et un total de confidentialité.

Dans ce processus, il est essentiel que la personne souhaitant rédiger un testament de bienfaisance prenne le temps de réfléchir à ses souhaits et à ses objectifs. Il peut être utile de dresser une liste des causes qui lui tiennent le plus à cœur et de réfléchir à la manière dont son legs peut avoir un impact positif dans ces domaines. En outre, il est conseillé de s'adresser à un avocat spécialisé dans les testaments afin de s'assurer que toutes les dispositions sont claires et correctement appliquées.

Un notaire est-il nécessaire ? Pour garantir la validité juridique de votre testament et son exécution future, il est conseillé de faire appel à un notaire. Cela permet non seulement de s'assurer que le document est correctement rédigé, mais aussi d'éviter d'éventuels litiges entre les héritiers et de se conformer aux réglementations locales. N'oubliez pas incluent correctement les données de la Fondation CARF et, surtout, n'oubliez pas de sauvegarder une copie. Les données d'identification nécessaires pour inclure la Fondation CARF dans le testament ou le legs de solidarité sont les suivantes :

FONDATION DU CENTRE UNIVERSITAIRE ROMAIN
CIF : G-79059218
Conde de Peñalver, 45, Mezzanine, Bureau 1
28006 Madrid

Vous pouvez nous contacter par courrier électronique et envoyer une copie à Ana à l'adresse carf@fundacioncarf.org.

Pensez à inclure une clause de mise à jour : Tout au long de la vie, notre situation peut changer. Il est conseillé d'inclure dans le testament une clause permettant de le réviser et de le mettre à jour si nécessaire afin qu'il reflète nos souhaits actuels.

Si vous souhaitez enfin inclure dans votre testament de solidarité une donation ou un legs en faveur des séminaristes et des prêtres diocésains et religieux, n'oubliez pas informer l'institution. Bien que cela ne soit pas obligatoire, le fait d'informer la Fondation CARF de votre décision facilite l'accomplissement efficace de vos souhaits.

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Laisse une trace indélébile

Un testament de solidarité est une façon unique de transcender et de perpétuer le bon travail que vous avez accompli dans votre vie, en apportant un avenir d'espoir et de foi aux générations à venir. Si vous ressentez dans votre cœur le désir de contribuer à la mission de l'Église, il s'agit d'une voie noble et transformatrice.

Pour plus d'informations sur la manière de faire un testament en faveur de la formation intégrale et continue des prêtres et religieux diocésains, contactez-nous. Nous sommes là pour vous aider à réaliser votre désir de laisser une trace de votre passage. Il s'agit d'un héritage perpétuel d'amour et de service au sein de l'Église catholique.

Comment les différents types de dons sont-ils déductibles des impôts ?

La fiscalité appliquée aux organisations à but non lucratif telles que la Fondation CARF.

Les dons faits par des entreprises ou des particuliers à une fondation ont des avantages fiscaux sous forme de déductions de l'impôt à payer par la fondation, à la fois sous forme de impôt sur les sociétés comme dans le l'impôt sur le revenu des personnes physiques (IRPF).

Les dons qui bénéficient de ces déductions sont ceux effectués à des associations ou institutions telles que la Fondation CARF, déclarée d'utilité publique, et à des organisations non gouvernementales, qui répondent aux exigences de la loi 49/2002 sur le régime fiscal des organisations à but non lucratif et les incitations fiscales au mécénat.

Quels sont les dons déductibles fiscalement ?

Si l'on se réfère à l'article 17 de la loi 49/2002 sur les incitations au mécénat, qui fait référence aux dons déductibles, les dons et contributions, les dons et contributions irrévocables, purs et simples, effectués en faveur des entités couvertes par la loi sur le mécénat, que ce soit en espèces, en biens ou en droits, ou par le biais de cotisations, à condition qu'ils ne donnent pas droit au bénéficiaire de recevoir un service présent ou futur, seront éligibles aux déductions prévues. Les différents types de dons aux organisations à but non lucratif peuvent être :

  • Dons ponctuels : pour faire face à une situation spécifique ou à une campagne de collecte de fonds déterminée. A titre d'exemple Donner des vases sacrés600 euros garantissent qu'un séminariste sur le point d'être ordonné recevra un sac de vases sacrés pour administrer les sacrements où qu'il se trouve.
  • Dons périodiques : un engagement à soutenir la fondation en donnant une certaine somme d'argent à une certaine fréquence. Dans notre formulaire de don en ligne vous pouvez sélectionner la contribution que vous souhaitez verser et la fréquence à laquelle vous souhaitez qu'elle soit versée.
 

vasos sagrados

Avantages fiscaux pour les prestations en nature

Les dons en nature sont-ils déductibles fiscalement ? Les dons en nature sont ceux dans lesquels, au lieu de donner de l'argent, le donateur apporte une contribution sous forme de biens. La plupart du temps, il s'agit de biens de valeur dont le donateur sait déjà qu'il ne les utilisera pas ou n'en profitera pas, et qu'il considère comme plus utiles s'ils soutiennent une noble cause.

Actuellement, le les dons en nature, en faveur d'entités couvertes par la loi 49/2002, telles que les fondations, figurent dans une loi au contenu varié, la loi 7/2022, du 8 avril, sur les déchets et les sols contaminés pour une économie circulaire. Ce type de donation comprend des biens tels que des montres, des bijoux, des peintures et des œuvres d'art. La Fondation CARF garantit une procédure sûre et professionnelle pour le traitement de tous les biens donnés : évaluation officielle et vente aux enchères publiques.

La loi actuelle sur le mécénat, afin d'encourager les efforts privés, permet d'encourager les dons en nature sans le coût d'une contribution à une fondation. La loi stipule que la base fiscale d'un actif, qui a encore de la valeur, est nulle, si le don est fait à une fondation qui l'utilisera à ses propres fins. En outre, la TVA 0 % est appliquée. aux livraisons de biens sous forme de dons en nature.

Les biens reçus par la Fondation CARF font l'objet d'une évaluation professionnelle et seront ensuite vendus aux enchères. Dès que l'évaluation officielle de la CaixaBank Monte de Piedad sera disponible, le certificat correspondant à la donation de ces biens en nature pourra être délivré. La Fondation CARF essaiera d'améliorer le prix d'évaluation par le biais d'une vente aux enchères publique.

Qu'en est-il des testaments et legs conjoints et solidaires ?

Le legs de solidarité est une disposition testamentaire en faveur d'une institution sans but lucratif. Un legs est considéré comme un bien spécifique (véhicules, actions, assurance-vie, biens immobiliers, etc.), tandis qu'un héritage est une succession dans laquelle les patrimoines de l'héritier et du défunt sont confondus.

Pour faire un legs ou testaments conjoints et solidaires En faveur de la Fondation CARF, il vous suffit de vous rendre chez un notaire et d'exprimer votre volonté de tester ou de léguer tout ou partie des biens que vous possédez.

Lors de la liquidation du testament, les entités sans but lucratif doivent ne sont pas soumis aux droits de succession et de donation, et donc les legs solidaires sont exonérés d'impôts pour les bénéficiaires. La valeur totale de la donation sera utilisée pour le travail de la fondation.

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Loi sur le mécénat 49/2002

La Ley de Mecenazgo del 23 de diciembre, de régimen fiscal de las entidades sin fines lucrativos y de los incentivos fiscales al mecenazgo comprend les éléments suivants :

  • Article 19 - Déduction de l'impôt sur le revenu dû par les personnes physiques.
  • Article 20 - Déduction du montant de l'impôt à payer sur entreprises. Avantages fiscaux pour les entreprises (IS) .

Vous pouvez calculer la déductibilité fiscale de votre don à l'aide de notre calculateur de dons.

Avantages fiscaux pour les dons effectués par des particuliers

Grâce à la loi sur le mécénat, les dons d'un montant maximum de 250 € sont déductibles fiscalement à hauteur de 80 %. En d'autres termes, en donnant 20,83 €/mois ou 250 €/an, le fisc vous rembourse 200 € sur votre déclaration d'impôts. Les dons d'un montant plus élevé peuvent être déduits des impôts au moyen du numéro 40 %.

Avantages fiscaux pour les dons récurrents

Une déduction de 40 % peut être appliquée aux donations, au lieu des 35 % habituels, à condition que des donations d'un montant égal ou supérieur aient été faites à la même fondation au cours des deux périodes fiscales immédiatement précédentes, récompensant ainsi le donateur engagé. La déduction est plafonnée à 15 % de la base imposable à l'impôt sur le revenu des personnes physiques.

Déductibilité fiscale des dons effectués par les entreprises et les sociétés de personnes

Dans le cas des dons effectués par des personnes morales, telles que les sociétés commerciales, le montant du don fait l'objet d'une déduction de l'impôt sur les sociétés de 35 % et de 40 % dans le cas de dons récurrents. Dans ce cas, il n'est pas fait mention de deux tranches de dons.

En outre, il est important de noter que la base de cette déduction ne peut excéder 10 % de la base d'imposition pour la période fiscale. Les montants excédant cette limite peuvent être appliqués aux périodes fiscales se terminant au cours des dix prochaines années et par la suite.

Comment déduire les dons faits à la Fondation CARF ?

Lors de votre déclaration d'impôt sur le revenu, ou d'impôt sur les sociétés si vous êtes une entreprise, n'oubliez pas d'appliquer la déduction pour les dons effectués en accréditant vos dons. Pour ce faire, vous devez présenter l'attestation de don délivrée par la Fondation CARF à tous ses donateurs, qui en informe l'Agence fiscale afin qu'elle puisse inclure ces montants dans les informations fiscales de chaque personne ou société et dans leur projet de déclaration fiscale.

Les dons anonymes ne peuvent pas être déduits car l'administration fiscale ne sait pas à qui s'applique la déduction. Il est donc important de veiller à fournir des informations complètes, en remplissant toujours les formulaires prévus à cet effet sur le site web. De cette manière, la fondation pourra vous délivrer une attestation de don reconnaissant le don effectué.


Bibliographie:

19M, St Joseph, travail et paternité

Ces deux thèmes sont abordés par le pape François dans la dernière partie de sa lettre Patris corde (8-XII2020) sur saint Joseph. 

Depuis Léon XIII (cf. enc. Rerum novarum, 1891), l'Église propose saint Joseph comme travailleur modèle et patron des travailleurs. En contemplant la figure de Saint Joseph, dit François dans sa lettre, on peut mieux comprendre le sens de la le travail qui donne de la dignité, et la place du travail dans le plan du salut.

D'autre part, aujourd'hui, nous devrions tous réfléchir à la parentalité.

L'œuvre et le plan de salut de Saint Joseph

Le travail, écrit le Pape, devient une participation à l'œuvre même du salut, une occasion de hâter la venue du Royaume, de développer son potentiel et ses qualités, en les mettant au service de la société et de la communion. Le travail devient une occasion d'épanouissement non seulement pour soi-même, mais surtout pour ce noyau originel de la société qu'est la famille" (Patris corde, n. 6).

Deux références interconnectées doivent être soulignées ici : l'une est la relation entre le travail et la famille. L'autre est la situation actuelle, pas seulement la pandémie mais le cadre plus large, qui appelle à revoir nos priorités en matière de travail.

Ainsi, François écrit : "La crise de notre temps, qui est une crise économique, sociale, culturelle et spirituelle, peut représenter pour tous un appel à redécouvrir le sens, l'importance et la nécessité du travail afin de donner naissance à une nouvelle 'normalité' dans laquelle personne n'est exclu. L'œuvre de St. Joseph nous rappelle que Dieu a fait l'homme lui-même n'a pas dédaigné le travail. La perte de travail qui affecte tant de frères et sœurs, et qui s'est accrue ces derniers temps en raison de la pandémie de Covid-19, devrait nous inciter à revoir nos priorités" (Ibid.).

San José - El trabajo y la patermidad

Dans la dernière partie de sa lettre, le pape s'arrête pour considérer que Joseph a su être un père "dans l'ombre" (il cite le livre du polonais Jan Dobraczyński, La sombra del Padre, 1977, publié en espagnol par Palabra, Madrid 2015).

L'ombre du Père St. Joseph

En pensant à cette "ombre du père" ou dans laquelle se trouve le père, nous pouvons considérer que notre culture postmoderne vit les blessures causées par une rébellion contre la paternité, explicable si nous prenons en compte les nombreuses prétentions de la paternité qui n'étaient pas ou n'ont pas pu être ce qu'elles devaient être ; mais une rébellion contre la paternité est inacceptable en soi, car elle est une partie essentielle de notre humanité et nous en avons tous besoin. Aujourd'hui, en effet, nous avons besoin, partout, de pères, de revenir au père.

Dans le la société de notre tempsFrançois observe que les enfants semblent souvent être sans père. Il ajoute que l'Église a également besoin de pères, au sens littéral, de bons pères, mais aussi dans un sens plus large, les parents spirituels des autres (cf. 1 Cor 4:15 ; Gal 4:19).

Qu'est-ce que cela signifie d'être un parent ?

Le pape explique de manière suggestive : "Être père signifie introduire l'enfant dans l'expérience de la vie, dans la réalité. Non pas pour le retenir, non pas pour l'emprisonner, non pas pour le posséder, mais pour le rendre capable de choisir, d'être libre, de sortir" (n. 7). Et il pense que le mot "très chaste" que la tradition chrétienne place à côté de Joseph exprime ce "..." (n. 7). logique de la liberté que tout parent devrait avoir pour d'aimer d'une manière vraiment libre.

François note que saint Joseph ne verrait pas tout cela d'abord comme un "sacrifice de soi", qui pourrait donner lieu à une certaine frustration, mais simplement comme un don de soi, comme le fruit de la confiance. C'est pourquoi le silence de saint Joseph ne donne pas lieu à des plaintes mais à des gestes de confiance.

"L'esprit missionnaire de l'Église n'est rien d'autre que l'impulsion à communiquer la joie qui nous a été donnée", Discours à la Curie romaine, 22 décembre 2008.

Du sacrifice au don de soi

Voici un complément d'information sur le relation entre le sacrifice et la générosité par amourdans une perspective que l'on pourrait appeler humanisme chrétien ou chrétien Anthropologie chrétienne:

"Le monde a besoin de pères, il rejette les maîtres, c'est-à-dire : il rejette ceux qui veulent utiliser la possession de l'autre pour remplir leur propre vide ; il rejette ceux qui confondent autorité et autoritarisme, service et servilité, confrontation et oppression, charité et assistance, force et destruction. Toute véritable vocation naît du don de soi, qui est la maturation du simple sacrifice".

Pour tirer le meilleur parti de cet argument, il convient, à notre avis, de garder à l'esprit le sens plutôt négatif et appauvrissant que le mot "sacrifice" a aujourd'hui dans la rue. Par exemple, lorsque nous disons : "S'il le faut, nous ferons un sacrifice pour atteindre cet objectif...". Ou lorsque nous disons que nous n'aimons pas quelque chose ou que nous n'aimons pas cette personne, mais qu'"en faisant un sacrifice", nous pouvons le supporter.

Cela peut être considéré comme le résultat de la la déchristianisation de la cultureParce que dans une perspective chrétienne, le sacrifice n'a pas d'abord cette connotation triste, négative ou défaitiste, mais au contraire : c'est quelque chose qui vaut la peine, parce que derrière, il y a la vie et la joie. Cependant, aucune mère ou aucun père qui fait ce qu'il doit faire ne pense qu'il le fait "par sacrifice", ou qu'il rend un service en faisant beaucoup d'efforts de sa part, parce qu'"il n'y a pas d'autre moyen".

En perdant la perspective chrétienne (c'est-à-dire la foi que le Christ a triomphé sur la croix, et donc la croix est une source de sérénitéAujourd'hui, le mot "sacrifice" semble triste et insuffisant. Le Pape l'exprime bien lorsqu'il propose de dépasser la "logique purement humaine du sacrifice". En effet, le sacrifice, sans la pleine signification que lui donne la perspective chrétienne, est oppressif et autodestructeur.

En fait, en ce qui concerne le la générosité que tout parentage exigeLe pape ajoute quelque chose qui éclaire la feuille de route des vocations ecclésiales : "Lorsqu'une vocation, qu'il s'agisse de la vie conjugale, célibataire ou virginale, n'atteint pas la maturité du don de soi en s'arrêtant uniquement à la logique du sacrifice, alors, au lieu de devenir un signe de la beauté et de la joie de l'amour, elle risque d'exprimer le malheur, la tristesse et la frustration".

Et cela peut être vu en relation avec le véritable sens de la liberté chrétienne, qui surmonte non seulement la mentalité sacrificielle de l'Ancien Testament, mais aussi la tentation d'un "moralisme volontariste".

Joseph Ratzinger-Benoît XVI, l'a bien expliqué

À plusieurs reprises, en rapport avec le passage de Romains 12:1 (sur le "culte spirituel"). C'est une erreur de vouloir être sauvé, purifié ou racheté par ses propres efforts. Le message de l'Évangile propose d'apprendre à vivre au jour le jour l'ole rafraîchissement de sa propre vie en union avec le Christdans le cadre de l'Église et au centre de la Eucharistie (cf. spécifiquement l'audience générale du 7 janvier 2009).

Cela nous semble éclairer ce que dit la lettre de François, formulée en des termes qui peuvent être acceptés par n'importe qui, pas seulement un chrétien, tout en se mettant sur la voie de la plénitude de ce qui est chrétien : la parentalité doit s'ouvrir aux nouveaux espaces de liberté des enfants. Bien entendu, cela suppose le souci du père et de la mère de former leurs enfants à la liberté et à la responsabilité.

Il vaut la peine de transcrire ce paragraphe, presque à la fin de la lettre : "Chaque enfant porte toujours avec lui un mystère, quelque chose d'inconnu qui ne peut être révélé qu'avec l'aide d'un parent qui respecte sa liberté. Un père qui a conscience d'achever son action éducative et de vivre pleinement sa paternité seulement lorsqu'il est devenu "inutile", lorsqu'il voit que l'enfant est devenu autonome et marche seul sur les chemins de la vie, lorsqu'il se met dans la situation de Joseph, qui a toujours su que l'Enfant n'était pas le sien, mais qu'il lui avait simplement été confié".


Don Ramiro Pellitero IglesiasProfesseur de théologie pastorale à la Faculté de théologie de l'Université de Navarre.

Publié dans Église et nouvelle évangélisation.

5 clés pour un bon examen de conscience en vue de la confession

Chercher à remédier à nos fautes est une tâche d'amour. C'est pourquoi nous devons profiter d'un moyen très nécessaire, indispensable, qui est l'examen de conscience. L'évêque Javier Echevarria.

A quoi sert l'examen de conscience

Le but de l'examen n'est pas d'être angoissé par nos fautes, mais de les reconnaître avec sincérité et confiance en Dieu, puis de se rendre au sacrement de la confession, sachant que nous serons pardonnés. Tout ce processus se déroule dans l'infinie miséricorde de Dieu manifestée en Jésus-Christ.

Nous voyons nos fautes par rapport à :

  • Les dix commandements.
  • Les sept péchés capitaux.
  • Défauts de caractère.
  • Les dons que Dieu nous a donnés pour le servir.
  • Les responsabilités de notre vocation.

L'examen de conscience est un pont vers la confession

Parfois, c'est notre propre vie qui semble s'égarer à la suite de mauvaises décisions ou simplement de nos faiblesses personnelles. Nous, chrétiens, avons la chance d'avoir la possibilité de recommencer. Cette possibilité existe grâce à la bonté de pouvoir se tourner vers le sacrement du pardon, d'être assuré que Dieu nous pardonne et nous encourage à recommencer.

Comment faire un bon examen de conscience

Tout d'abord, l'examen se fait devant Dieu, en écoutant sa voix dans la conscience de chacun d'entre nous.

Cómo se puede hacer un examen de conciencia confesión
Les recommandations de Javier Echevarría en 2016.

Prenez quelques minutes pour une séance quotidienne d'introspection.

Après cela, il suffit de quelques minutes de réflexion quotidienne pour regarder avec l'âme la lumière de Dieu. Comme l'expliquait saint Josémaria, il suffit de quelques minutes avant de s'abandonner au repos nocturne, mais avec une constance quotidienne.

Demandez l'aide du Saint-Esprit

Mais il y a des moments spécifiques, par exemple l'examen de conscience pour la confession, où il conviendra de procéder avec plus de précaution. Et dans tous les cas, il convient d'invoquer le Saint-Esprit, afin qu'il nous accorde sa lumière.

Terminer par un acte de douleur et un objectif d'amélioration

Enfin, il ne s'agit pas seulement d'énumérer les péchés mais de découvrir l'attitude erronée du cœur et, avec le chagrin de nos péchés, de prendre la ferme résolution de ne plus les commettre. Il est important de terminer par un acte de tristesse et une résolution concrète pour le jour suivant. Il y a toujours des domaines dans lesquels nous sommes plus faibles et qui nécessitent une attention particulière, mais si nous comprenons que le Christ est la mesure, nous verrons qu'en tout, nous avons beaucoup à grandir.

L'examen de conscience du pape François

En outre, pendant le Carême 2015, le pape François a remis aux fidèles de la place Saint-Pierre un livret spécial intitulé "Garder le cœur". Il contient des ressources importantes pour la période précédant Pâques. Il peut être téléchargé à partir du lien ci-dessus.

Parmi ces ressources, on trouve un examen de conscience de 30 questions posées par le Pape sur la manière de faire une bonne confession, ainsi qu'une brève explication sur les raisons d'aller au sacrement de la réconciliation.

Questions pour un bon examen de conscience

Nous vous proposons une série de questions orientées par saint Josémaria Escriva, qui peuvent aider à l'examen de conscience avant la confession. Cette version est destinée aux adultes.

Tu aimeras Dieu par-dessus tout....

  • Est-ce que je crois tout ce que Dieu a révélé et que l'Église catholique nous enseigne ? Ai-je douté ou nié les vérités de la foi catholique ?
  • Est-ce que je fais des choses qui font référence à Dieu à contrecœur ? Est-ce que je me souviens du Seigneur tout au long de la journée ? Est-ce que je prie à tout moment de la journée ?
  • Ai-je reçu le Seigneur dans la Sainte Communion avec un péché grave sur la conscience ? Ai-je gardé le silence en confession par honte d'un péché mortel ?
  • Ai-je blasphémé, ai-je juré inutilement ou mensongèrement, ai-je pratiqué la superstition ou le spiritisme ?
  • Ai-je manqué la messe les dimanches ou les jours fériés ? Ai-je observé les jours de jeûne et d'abstinence ?

... et ton prochain comme toi-même.

  • Est-ce que je montre du respect et de l'affection aux membres de ma famille, est-ce que je suis attentif et utile en m'occupant de mes parents ou de mes proches s'ils en ont besoin, est-ce que je suis gentil avec les étrangers et est-ce que je manque de cette gentillesse dans la vie familiale, est-ce que je suis patient, est-ce que j'ai de la patience ?
  • Est-ce que je permets à mon travail de prendre du temps et de l'énergie qui appartiennent à ma famille ou à mes amis ? Si je suis marié, ai-je renforcé l'autorité de mon conjoint, en évitant de le réprimander, de le contredire ou de me disputer avec lui devant les enfants ?
  • Est-ce que je respecte la vie humaine et ai-je coopéré avec ou encouragé quelqu'un à avorter, à détruire des embryons, à euthanasier ou à utiliser tout autre moyen qui menace la vie d'êtres humains ?
  • Est-ce que je souhaite le bien aux autres ou est-ce que je nourris de la haine et que je porte des jugements critiques ? Ai-je été violent verbalement ou physiquement en famille, au travail ou dans d'autres contextes ? Ai-je donné un mauvais exemple à ceux qui m'entourent ? Est-ce que je les corrige avec colère ou injustement ?
  • Ai-je essayé de prendre soin de ma santé ? Ai-je consommé de l'alcool de façon excessive ? Ai-je pris des drogues ? Ai-je risqué ma vie de façon injustifiée (en conduisant, en me divertissant, etc.) ?
  • Ai-je regardé des vidéos ou des sites Web pornographiques ? Est-ce que j'incite les autres à faire le mal ?
  • Est-ce que je vis dans la chasteté ? Ai-je commis des actes impurs avec moi-même ou avec d'autres personnes ? Me suis-je laissé aller à des pensées, des désirs ou des sentiments impurs ? Est-ce que je vis avec quelqu'un comme si nous étions mariés sans l'être ?
  • Si je suis marié, ai-je veillé à la fidélité conjugale ? Est-ce que j'essaie d'aimer mon conjoint par-dessus tout ? Est-ce que je donne la priorité à mon mariage et à mes enfants ? Suis-je ouvert à de nouvelles vies ?
  • Ai-je pris de l'argent ou des choses qui ne sont pas à moi, et si oui, ai-je restitué ou réparé ?
  • Est-ce que j'essaie de remplir mes devoirs professionnels, suis-je honnête, ai-je trompé les autres : surfacturation, offre délibérée d'un service défectueux ?
  • Ai-je dépensé de l'argent pour mon confort personnel ou mon luxe, en oubliant mes responsabilités envers les autres et l'Église ? Ai-je négligé les pauvres ou les nécessiteux ? Est-ce que je remplis mes devoirs de citoyen ?
  • Ai-je dit des mensonges ? ai-je réparé les dommages qui ont pu en découler ? ai-je, sans raison valable, découvert des fautes graves chez d'autres personnes ? ai-je parlé ou pensé du mal d'autrui ? ai-je calomnié ?

Bibliographie :